P'tit Bout d'Vie

donc pour ceux et celles qui ne connaissent pas, c'est simple, il suffit de mettre un p'tit bout de votre vie. un p'tit morceau marrant, triste, tendre, conviviale etc ...


aujourd'hui, j'voudrai raconter ma première -vraie- descente sur Paris.


c'était un samedi 25 septembre 2005.
Première soirée organisée par un autre forum à laquelle j'allais participer
Première fois que j'allais prendre le TGV seule, première fois que je partais sans mes parents, première descente à Paris, première rencontre avec des personnes avec qui je discutais depuis des mois ... bref! une vraie vierge!
Ce ne fut pas facile de convaincre mes parents mais à force de persuasion ...

donc me voilà partie dans mon p'tit TGV comme une grande! les 2 heures sont passées à une vitesse folle!! à 15 minute de la Gare du Nord je commençais sérieusement à stresser!!
est-ce que j'allais reconnaitre Manue, cette fille de 17 ans qui devait m'accueillir et que je n'avais jamais vue hormis par photo ou cam??
et bien oui (/me fière! )
rencontre avec Manue, le p'tit frère était là également.
hop, on file dans la voiture de son père, qui nous attendait. direction la FNAC de Paris (wouaw! rien a voir avec celle de Lille!!). avec au passage une p'tite visite de Paris.
Premier contact avec les Parisiens: très hétéroclytes, très pressés et assez peu souriants.
une fois la FNAC fini, direction la maison de Manue. on y reste jusque 18h puis départ de nouveau pour Paris! là j'ai le droit à un p'tit détour dans les rues de la capitale pour une autre visite éclaire.
rdv au resto avec les autres filles. premières arrivées ^^
olàlàlà quel stress de nouveau! Soeur-sourire, fred, ev' et box sont les premières recontrées. tout ce passe bien ...
les autres arrivent, l'atmosphère se détend et la soirée se passe à merveille (je suis trèèèès calme et impressionnée!).
retour a 2h du mat' dans un Paris by Night sublime!
puis dodo pour reprendre le train le ledemain en début d'aprèm.


qu'est-ce que c'était bien!!! ce que j'ai préféré?? le resto bien sur et les balades en voiture avec le père de Manue, un vrai passionné de cette ville!

Un gros bisous a Manue si jamais elle se paumait par ici .
et une grosse pensée pour son père malheureusement parti trop tot

un ancien p'tit bout d'vie qui n'arrete pas de faire rire certaines morues du net ...



NE JAMAIS FAIRE DE VELO AVEC UN LONG MANTEAU (genre mon manteau de faux cuir, très bonne qualité que j'ai eu à 30 € seulement ... au passage hein )


je roule tranquil le long du cimetière, chui à 2 minutes de chez moi.
ça fait trois jours déja que j'utilise le vélo avec ma longue veste en faisant très attention à ne pas laisser pendre les pants de ce dit manteau le long de la roue arrière (méthode donc très laborieuse pour s'assoir sur la selle).
et ce jour là, je commençais a avoir un peu mal au dos à me pencher comme ça pour éviter que le manteau ne se prenne dans la roue.
Un pote de fac qui partait vers Marck me dépasse en me saluant. moi comme une conne, je me relève tout sourire et à ce moment là, THE DRAME!
mon manteau, bien évidemment se prend dans la roue arrière, entre le pneu et les freins, puis dans les rayons et moi je pars en arrière d'un seul coup! (imaginez vous avoir le manteau pris dans une machine qui a un tapis roulant, ben c'est pareil là).
je comprends assez vite ce qu'il se passe ( pas si conne que ça non plus) et je feine de toutes mes forces, manquant de me faire écraser par la voiture qui me suit.
j'avance tant bien que mal vers le trottoir (chu toujours prise dans le truc, penchée en arrière comme une dingue) et j'entreprends la lourde tache de descendre du vélo. impossible. ou alors faut que je me laisse tomber en arrière mais bon ça va, j'viens déja de me taper la honte comme ça sans en rajoutter.
j'ai alors, la brillante idée ( après au moins 30 sec de tentative de descente) de retirer mon sac à dos puis mon manteau.

là enfin je peux descendre et retirer ce foutu manteau (qui n'a rien eu) mais avec beaucoup de mal quand même! et repartir comme ci de rien n'était, avec le manteau dans le sac et le corps gelé à cause du vent ds la tronche ^^

Aujourd'hui j'était tranquil, penard a mon taf discutant tranquillou sur msn avec la popiette....

Elle me donne l'idée de faire un ti tour sur ce zolie forum et moi j'y vais confiante....

Et la je vois koi ???

UN QUESTIONNAIRE SPECIAL MOI !!!!

trop flaté je me jete dessus et là.......... Je pete de rire en voyant son post .... Mais alors y avais longtps ke j'avais pas rie autant en lisant une connerie sur le net ...

Ou es le pb me direz vous ???

bah le soucis c qu'a coté de moi une zolie etudiante à crue que je me foutai d'elle et c barré !!! g même pas pus lui expliquer avt qu'elle partent tellement je pleurai de rire....

Du coup je raconte ça a pop en riant tjs et là une autre etudiante arrive me dit bjr je lui repond oui et j'ecris sur msn bjr a pop au lieu d'ecrire oui a pop et dire bjr a l'etudiante..........

tout va bien je vais bien......... Qui as dit qu'une nuit blanche a l'hosto ça rendais cinglé ???

Ya vraiment des gens pas doués...

PTDRRRRR !!!!.......

je sens que je vais le regretter de les écrire celles là aussi mais bon.


1er bout d'vie:

cours de physique-chimie en 4em ou 3em au collège ( je ne me souviens plus précisement).
Ce jour là, mini TP qui portait sur je-sais-plus-quel-truc mais qui, en tout cas, utilisait des tubes à essai.
donc le prof, Mr Isaac (un amour de jeune prof, il venait de Vendée je crois, il avait un accent trop fort : l'eau des flueuuuve" , genre il se mettait à siffler en plein cours et tout ... enfin bref, je m'égare) distribue les porte-tubes.
un machin dans ce genre là, sauf que nous on l'avait en bois tout pourri avec une seule rangée:



on était à quatres sur les paillasses mais on faisait les tp par deux. donc moi j'étais avec ma pote hélène, pis y'avait les 2 chloé à coté de nous.
et une fois que le porte-tube est arrivé, qu'est-ce que j'ai pas trouvé de mieux à faire évidemment : c'est de m'amuser à mettre mes cinq doigts de la main droite dans les trous du porte-tubes, par en-dessous. j'étais fière de moi, ça faisait marrer les autres ect ...
seul problème, c'est que quand le prof à commencer à se rapprocher de nous lors de sa distribution de tubes, j'ai voulu retirer mes doigts ... et j'i pas réussi.
fin il me restait le majeur et l'index de coincé ...
quand ma voisine a su ça, elle a commencer à rire comme une dingue, alertant ainsi la moitié de la classe. et moi j'étais trop trop génée parce que pas moyen de retirer mes doigts ... et honnetement, je ne me voyait surtout pas aller voir le prof en disant : "monsieur, j'ai les doigts coincé" ( quand j'ai pensé à ça, j'ai commencé a avoir un fou rire également ).
bien sur, mes voisines n'avaient aps d'huile ou de beurre ou de savon sur elles (z'avaient jamais rien d'façon ^^). donc un peu dans la merde.
j'ai du pété le truc ( et au passage me bousiller les doigts) et aller voir le prof en disant : scuzez m'sieur, j'crois que j'ai cassé votre machin. il est tombé par terre et j'ai marché dessus en descendant de mon tabouret ( ouai, on avait des tabouret de trois km de haut aussi ...).
le prof m'a regardé tout d'abord d'un air suspect en voyant mes copines rire comme des bécasses puis d'un air : mais que va-t-on bien pouvoir faire de toi ...
et il m'en a redonner un autre .


2em bout de vie:

toujours en TP mais cette fois ci c'est le premier TP de sc.nat' de mon année de seconde au lycée. une dissection. donc qui dit dissection, dit gants en latex.
non non non je ne me suis pas amuser à transformer mon gant en mamelle de vache en souflant dedans, je les ai mis correctement.
le truc c'est que bon voilà ... on était en tout début d'année, je ne connaissais pas encore bien tous les gars de ma classes ... et donc ce jour là, je suis sur la même paillasse que françoise. et derrière nous, Antoine et David, les deux grosses tetes de la classes. seul truc qui les différencie: antoine c'est une crème, david un crétin qui ne pense qu'à être le premier et qui méprise tous les autres. Françoise, david et toinou ce connaissent du collège. (je plante le décor là ).
donc enfilage de gants.
françoise discute avec antoine, donc je participe un peu en tournant sur la chaise. pis c'est là que je vois david galérer avec son gant gauche.
je me marre et je lance: bah alors gamin, t'sais pas mettre tous tes doigts dans les bons trous??? (il avait un doigt d'gant qui pendouillait).
et je me retourne vers le tableau. c'est la que françoise se penche discrètement vers moi et me :"il n'a que quatre doigts à la main gauche "..

trop trop trop trop génée. j'entends antoine qui est écroulée de rire (c'est là qu'il a vu que j'étais une p'tite comique).
j'ai passé tout le reste du cours à regarder droit devant moi ...

il n'y a qu'une seule chose qui me vient à l'esprit avec les coup des gants



LPDLP !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!




(pour les non-initiés lpdlp = les pieds dans le plat ; j'ai abrégé parce que ça m'arrive tellement souvent !!! :s:s)

continuons sur la lancée ... (merci angie de m'avoir ravivé ces souvenirs lol) mais faisons court.

les petits/gros bobos:


je me suis ouvert le cuir cheveulu en glissant sur le carrelage de ma salle de bain en sortant de la baignoire parce que je voulais ramasser un truc tombé par terre.

je me suis coincé le doigt dans une porte. j'étais chez ma nourrice, au niveau de la porte du cellier. le cellier donne sur le garage, et le garage était grand ouvert (c'était l'été). ma mère vient me rechercher, ouvre la porte d'entrée donc, ça fait courant d'air, la porte du cellier claque ... sur mon doigt.

j'avale du liquide nettoyeur de K7 à l'age de deux ans ... hosto et 2kg perdus en deux jours .

je me fèle le cartilage du gros orteil du pied droit. comment? j'en ai absolument aucune idée. j'pouvais plus marcher un beau matin au réveil.

je me viande un nombre incalculable de fois en vélo, skate, roller etc ... étant petiote. et je laisse pas mal de peau sur le bitume (ça pique!)







j'ai aussi une bonne aptitude a tomber en public ^^ mais bon, ça sera pour un autres post, un autre jour

Alooooors...mes bobos

_ à jsaispuquelâge mais genre vraiment ptite ptite, je fais une grippe magistrale. Je parlais pas encore donc mes parents le savaient pas, jusqu'à la nuit où je me suis mise à cracher du sang avec 40° de fièvre. Une nuit aux urgences pendant que ma m'man arrête pas de pleurer.

_ quand j'étais gamine, j'étais à vélo dans mon bled, une grande descente avec une patûre au bout...me demandez pas pourquoi j'ai ni tourné ni freiné, toujours est-il que je me prends une dalle de béton et que je fais un vol plané par-dessus la clôture pour atterrir dans les ronces. Bilan : rien à part des ptites piqûres, mais je gueulais tellement fort que mes parents m'ont entendue de la maison (en fait j'avais peur parce que j'étais près du coin caca du cheval).

_ à 12 ans : rougeole carabinée (merci les vaccins défectueux, oui oui j'étais vaccinée). 39° de fièvre tout le temps, incapable d'ingurgiter quelque chose (même un verre d'eau), nuits peu réparatrices (insomnies, cauchemars, expéditions aux toilettes pour vomir, en me tenant au mur avec des papillons devant les yeux), une horreur. 3 kilos perdus en moins de deux semaines (déjà que je faisais pas lourd...)

_ ya 2 ans et demi. Je fais tomber un cd derrière mon étagère, je suis sur mon lit et je passe mon bras derrière l'étagère. Problème, mon poids pousse l'étagère contre le mur, je me retrouve avec le bras coincé. Gros moment de panique, au lieu d'appeler quelqu'un (j'étais dans un foyer) je me libère moi-même en forçant. J'ai mal de sa race, j'appelle mon ancienne colloc au secours parce que ça douille et je finis avec un bras arc-en-ciel dont les marques ont subsisté pendant 3 mois (et les douleurs, plus longtemps). Conversation avec la pharmacienne :
Elle (yeux affolés) _ c'est un coup ?
_ Non, une étagère.

_ Fin septembre, je descends une pente à vélo perdue dans mes pensées, j'arrive trop vite au virage, je tourne pas (classique hein), je me rattrape comme je peux à une barrière pour me ralentir un peu, puis je me latte superbement en travers de la voie cyclable, coinçée sous mon vélo et jurant comme un charretier. On vient m'aider, j'ai bien mal mais rien de cassé (même pas mon orteil ) et surtout une grosse frayeur.

Jcro qu'c'est tout. Ca va, en fait. Je suis une coriace

Popinette et Angie en action...

arf, ben moi y en a tellement que je vais juste raconter la première et la dernière !! (/me catastrophe ambulante)


Donc la première, j'avais 3 mois, j'ai foutu la trouille de leur vie à mes parents... ; hospitalisée une douzaine de jours pour une méningite !! (puisque vous lisez ce post c'est que je m'en suis sorti)

La dernière : un p***** de déboitage de genou soldé par une virée au bloc opératoire... allez je vais développer cette partie :

Ceci commence le 19 décembre 2004, je me blesse lors d'une competition (je vous raconterais le p***** de match un autre jour si vous voulez c'est croustillant à souhait )

Donc je ressors sur une civière, me retrouve aux urgences, la routine quoi... on me dit de reconsulté dans 8 jours... (1er medecin que je vois) évidemment ça tombait pile poil pendant les fêtes de fin d'année que je passais en famille (super pour le suivi )

Donc, je vais à l'hôpital chez mes parents (2ème medecin que je vois) qui ne peut pas me manipuler car trop de douleur mais on me refait des radios.

ne décrochez pas le fil ça va commencer à devenir intéressant...

De retour chez moi, je consulte un medecin (je venais d'arriver dans la région, j'ai pris un medecin au pif mais medecine du sport qd meme et en plus il était ostéopathe), je lui précise bien que je suis sportive de haut niveau (pour qu'il fasse particulièrement attention) ; il me refait passer des radios (mais pas d'IRM qui est nécéssaire dans ces cas de figure) me manipule et me fait une ponction dans son cabinet (il y avait beaucoup de "jus" dans le genou)... puis reconsultations dans 15 jours...

les 2 semaines passent, je me repointe au cabinet et là il me dit : "vos analyses, concernant ce que j'ai prélevé lors de la ponction, ne sont pas bonnes, il y a une bactérie" -----> Traitement d'1 mois antibio !!
Alors, tout ça me paraissait bizarre puisqu'il n'y avait pas eu de fracture et aucun autre point d'entrée... sauf la ponction !!! je me suis renseignée auprès de gens de compétence et tout le monde m'a dit que ça ne pouvait être que la ponction bref... (je laisse le doute planer un peu)
il m'a dit "je ne comprends pas d'où ça vient..." j'ai pensé très fort "tu m'prends pour une conne ??? )

Séances de kiné à gogo jusqu'au mois d'avril... où là, le medecin me dit c'est bon !! vous pouvez y aller !!!

je reprends l'entrainement début mai, tout doux mais vraiment tout doux, parce que j'avais une peur bleue de me recroûter et .... à la 3ème séance

TARATATAAAAAAAAAA roulement de tambour....


CRACCCCCCCCCCCCCCCCC


et là, c'est le drame... je me déboite le genou !!! (je vous raconte pas le moral j'étais anéanti... merci Astral je me souviendrai toujours de cette soirée c'est la première fois qu'on discutait sérieusement)


retour aux urgences... la routine radio et tout le toutim... grosse frayeur ils me disent qu'il y a peut-être une fracture.... Finalement à la radio il n'en était rien... OUFFFFFFFFFFF

Cette fois, j'ai un piston (je connaissais plus de monde dans ma ville au bout de qq mois ici), j'ai un RDV du jour au lendemain chez un très grand spécialiste du genou et des sportifs de haut niveau (ouééééééééééé!!! enfin une bonne nouvelle)
Ce medecin me manipule et sans me faire passer aucunes radios, IRM etc m'annonce un diagnostic sans appel :

" vous avez une rupture du ligament croisé.... et je suis désolé de vous dire ça, mais ça date du mois de décembre"


PAFFFFFFFFFFFFF dans la tronche !!! ça m'a fait trop mal...


Ben, la suite c'est rdv avec le chirurgien et l'anesthesiste, opération suivi de 5 semaines en centre de rééducation et ça fait 3 mois que je suis rentrée chez moi et que je fais de la kiné quasi tous les jours et j'en ai encore 2 mois à tirer... et retour chez le chirurgien en février pour bilan...


WOUAW ça c'était du post !!!! désolée pour la longueur... comprenez pourquoi j'ai juste référencé ma première et ma dernière tuile !!

J'ai dû me battre pour pas trop me mordre le doigt en lisant ton post... tain ça doit faire mal :S

je croyais qu'à la 2ème fois, je serais habituée mais ça fait aussi mal voire pire lol autant physiquement que phsychologiquement...


mais bon y a pire dans la vie...

De toutes façons on est là pour te soutenir! Et puis c'est bien connu les sont thaumaturges!!! En gros je te touche et t'es guérie! Mais faut le mériter ^^

ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh malheureux !!!!!!!!!!

ne me touche pas voyons !!!


je crois que ça va pas être possible entre nous....



marre de mettre des rateaux aux mecs

Miranda a écrit:

marre de mettre des rateaux aux mecs

mdrrrrr! vantarde!

Miranda a écrit:

ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh malheureux !!!!!!!!!!

ne me touche pas voyons !!!


je crois que ça va pas être possible entre nous....



marre de mettre des rateaux aux mecs

J'aurais dû deviner que ça allait se retourner contre moi -_-

p'tit bout d'vie....


ce matin je me suis servi un jus de fruit multivitaminé



sisi !!!

<---- boulet.... je

C'est l'histoire de quelqu'une qui a deux binômes (enfin des trinômes quoi)...
Que ces binômes ont 24-25 ans...
Que ces binômes ont besoin qu'on leur dise à quelle heure il faut venir le lendemain...
Et qu'on le leur reconfirme par mail...!
En sachant qu'ils seront là une heure après voire pas du tout...
Que ces binômes envoient leur travail la nuit avant la deadline quand on s'était fixé deux jours d'avance sur elle...
(on sait jamais hein quelquefois que leur travail n'irait pas....aaaaahem)
Que ces binômes ont bien compris que le meilleur moyen de fuir les responsabilités c'est de désigner une pauvre cloche chef du groupe qui prendra les décisions à leur place
Que ces binômes ont pour conception du travail de s'asseoir autour de ladite chef et de la regarder faire en ouvrant de grands yeux...
Que ces binômes sont très forts pour dire "sorry" et pour recommencer le lendemain...

C'est l'histoire de quelqu'une qui en a marre de voir ce genre de schémas se répéter à longueur de temps, qui se doute qu'elle va passer sa vie à bosser avec des gamins pareils, voire même, étant une fille et âgée de 20 ans, qui risque un jour de se faire devancer pour un poste, ou de se faire diriger, par exactement ce genre de flemmards sans-gêne...

C'est l'histoire de quelqu'une qui attend un mail, mail qui va lui permettre de finir enfin un projet, et d'aller se coucher l'âme en paix, à moins, bien sûr, que ce mail ne soit trop tardif et qu'elle ne soit allée se coucher, auquel cas elle ne pourra finir le travail que deux heures avant l'horaire échu ! C'est l'idéal me direz-vous !

L'immaturité et l'irresponsabilité, c'est à la mode en ce moment, rassurez-moi !?

ben c'est pas qu'en ce moment Angie,.... ça me rappelle des souvenirs ce que tu racontes... c'est dans l'air du temps.... et ça reflete les civilisation actuelle : il y a un paquet de profiteurs et quelques gens sérieux (espèce en voie de disparition malheureusement) qui se plient en 4 pour les autres (qui, du reste, ne se rendent même pas compte du travail fournit).

ça me dégoute complêtement...

Comme disait mon grand oncle si vulgairement : " dans la vie, il y a les baiseurs et les baisés"





Prends un mars... et ça repart !!!! pô le choix de toute façon

Hé vi...

C'est vraiment affolant. Enfin le rapport est fini, ils sont juste en train d'essayer de s'arranger pour savoir qui va imprimer *normalement* c'est plus mon prob.

En tout cas c'est pas un Mars que je vais prendre, c'est un avion ! Et pfiouuuuh, ça va me faire du bien

Allez un vrai ptit bout de vie.
Je vais raconter mon voyage aux vacances de Pâques. Avec mon meilleur pote on avait décidé de se faire une semaine de vacances à visiter le sud de l'Allemagne, jusqu'en Autriche.
On s'était fait un beau ptit plan, avec un trajet qui suivait la route allemande des Alpes à quelques écarts près, jusque Salzbourg avant de repartir en deux jours vers Paris en s'arrêtant à Munich.

Première anecdote, on s'est retrouvé avec un temps complètement pourri tous les jours. Une bonne pluie battante et continue, qui fait qu'on a parcouru toute la route allemande des Alpes...sans voir les Alpes. Je me rappelle du coup d'oeil échangé et du fou rire qui nous a pris, arrêtés dans un parking à Constance et regardant la pluie tomber. Le pire, c'est que notre trajet devait être vraiment magnifique par beau temps.

On s'est donc retrouvés à enchaîner les étapes plus vite que prévu, puisque ça servait à rien de rester trop longtemps dans un même endroit par ce temps. Quand on a renoncé au château de Neuschwanstein (celui de la belle au bois dormant, qui a inspiré Walt Disney) pour cause de brouillard impénétrable et de prix exorbitants (surtout qu'on en avait marre de payer des parkings à 4 euros dès qu'on voulait s'arrêter), on est remontés vers Munich.

Là, deuxième anecdote. On va à l'auberge de jeunesse et on se retrouve face à deux gérants totalement antipathiques et à des lieues de l'esprit habituel des auberges de jeunesse, à savoir juste préoccupés de savoir si tu prends la chambre ou pas. On hésite parce qu'il ne restait plus que des chambres communes, et qu'on doit se séparer de surcroît. Bon on n'a pas d'endroit où dormir, il est 15h, et le type est tellement désagréable à nous presser qu'on se sent obligés de prendre les chambres. Après tout il doit bien y avoir des choses à faire à Munich. Sauf que, après une heure de balade et quelques démêlés dans le métro, on s'aperçoit que sous la flotte c'est aussi déprimant qu'ailleurs et on décide de bouger. Retour à l'auberge de jeunesse, et là grosse engueulade avec la gérante. Elle nous dit qu'on avait déjà fait chier son collègue, et que maintenant on veut se barrer, c'est vraiment n'importe quoi blablabla. Soit. Elle nous a clairement vus juste déposer les bagages dans la chambre mais elle va vérifier quand même si on a rien dégradé, tout en nous engueulant. Après lui avoir expliqué 3-4 fois, fatiguée de parler allemand et de l'écouter gueuler, je finis par ne plus répondre, et là miracle, elle s'adoucit. Au final, on récupère nos sous sauf la caution (elle n'a pas le pouvoir de nous la rendre en tant qu'employée, vu qu'on a payé la caution par carte) et ouf, on se barre. Direction le Chiemsee.

C'est là que j'ai sans doute mes meilleurs souvenirs. On arrive à l'auberge de jeunesse et on s'aperçoit très vite du problème. Elle est envahie de gamins hurlant et courant partout Je vais voir le gérant, qui m'accueille avec un grand sourire, me dit qu'il peut encore nous trouver une place mais que ce ne sera pas l'idéal, et qu'il a un meilleur plan pour nous, à savoir une chambre chez l'habitant. Il nous indique l'itinéraire, nous rassure sur le prix et hop nous revoilà partis (un peu rassurés sur la mentalité des bavarois). On arrive au lieu dit, on sonne...et là, quelqu'un ouvre la porte. C'est une toute petite mémé, qui a l'air adorable et qui parle avec un accent bavarois à couper au couteau. On lui explique comment on est arrivés ici, pas de problème elle a des chambres libres, et c'est 20 euros par personne (soit moins que certaines auberges). Et elle ajoute avec un air tout fier "Mit Frühstück." (avec petit déjeuner). Elle nous emmène voir les chambres et là...les chambres sont superbes, dont même une avec un lit à baldaquin ! On en choisit une avec un balcon (je sais pas pourquoi mais bon), on profite de la salle de bain d'une propreté impeccable (elle doit passer ses journées à récurer) et on va chercher un endroit où manger en ville.
Le restau qu'on choisit précise à l'entrée qu'ils parlent aussi anglais et français, mais on commande quand même en allemand (on met une sorte de point d'honneur à parler la langue du pays dans lequel on séjourne). Je remarque le petit sourire amusé de la patronne quand elle nous entend parler français entre nous mais je n'y fais pas attention plus que ça. Vient le moment de payer, et mon pote regarde s'il a de la monnaie.
Il commence à dire dans un allemand hésitant "vielleicht habe ich.." (peut-être que j'ai...)
Et la patronne nous répond avec un grand sourire dans un français parfait "Ah mais moi j'ai tout ce qu'il faut !!"
Je suis écroulée de rire, le pauvre ne sait plus où se mettre et elle est toute fière de son petit effet. Il semblerait qu'elle soit française pure souche...
On rentre chez mémé et on s'étale dans un lit super moelleux. Le ptit dej du lendemain est tout aussi parfait, et on se met en route vers Salzbourg après avoir discuté un peu.

A Salzbourg, pas grand chose à dire mis à part que la circulation est pourrie mais que la vieille ville est plutôt impressionnante. Après avoir visité la cathédrale, un type à la sortie me demande :
_ Deutsch oder English ?
_ Französisch.
_ Aaah, une Française ! De Suisse, du Canada ou de Belgique ?
_ Euuuh. De France.
Il a rien répondu et je suis repartie perplexe et plutôt morte de rire. Mon père m'expliquera plus tard que ça doit être une confusion entre francophone et française, même s'il reste perplexe car j'ai pourtant utilisé le bon mot ^^.C'est presque la fin du séjour et on est rentrés sur Paris. C'était des vacances écourtées et sous la flotte, mais j'ai quand même de bons souvenirs (j'ai raconté que les plus marquants)...J'ai bien envie de refaire une virée du même genre mais par beau temps si possible !!!

Bin Cultiste, tu passes des sacrééééées Soirééééééééess (sans Jean-Pierre Faucul)


Moi j'sais pas trop ce que je pourrais raconter ici en fait...


Dans le genre de grand voyage, j'ai fait Normandie -> Nord de la Pologne en voiture avec mes parents, mais pour les détails, hem... j'ai la mémoire qui flanche